Il est tard, mon cerveau est à moitié déconnecté de la réalité, c'est un peu dur.
Je ne sais pas trop ce que j'attends de ce blog (et de moi-même alors? Wow...), j'espère juste qu'il pourra être l'outil qui me permettra de me rendre plus productive et plus créative.
Donc en gros : se sortir les doigts du cul et se remettre à écrire.
Mais demain, là y'a nuit-de-sommeil-qui-s'impose.
Un vendredi après-midi, j'ai froid.
Tu sais, si je plonge comme ça dans tes yeux,
c'est parce qu'on fond de tes pupilles, ton âme flamboie,
et que ça réchauffe le vide de mon être, drôlement.
Et si je m'embrase?
Je t'arracherais un baiser, je me pendrais à tes lèvres.
Ta bouche sera ma potence et ton souffle, mon bourreau.
Mars 2010
What a wonderful world?
Somebody told me about the story of Alice :
"Once upon a time lived a girl in a land of never-never. The everything's true, but, she dreams, she dreams and so, she dreams."
What I mean, I hope, and hope and hope...
Reality kills me.
Avril ( Ne te découvre pas d'un fil, enlève tes vêtements c'est mieux.)
"Dis t'entend ça? J'ai l'impression que ça se fissure, et qu'ça craquèle sous mes doigts. Et ça brûle, sous ta peau."
"Ben oui, ça, c'est toi."
Step One:
Caresse mon âme, et sois mien.
Caresse mes larmes, je ne suis rien.
Et si à l'automne dans un tourbillon de feuilles fauves ton coeur
s'envole, saches qu'à l'autre bout du monde, le mien se désole.
Step two:
Tout ce dont j'ai besoin se résume à voir les étoiles scintiller et le firmament vaciller autour de ton sourire étoilé
Step three:
Once upon a time in a wonderland,
I tried to find myself,
I found, but can't stand.
Believing in love power,
I denied what I believed in,
I thought, but became nameless..
I realized I was damned to ever feel Overscared
(IN THE NAME OF LOVE)
Step four:
Les éclats de glace de ton sourire,
effacent les traces de l'ardeur de mon désir.
Alors oui, "Adieu" mon beau salaud toi qui désormais git paisiblement sous ma peau...
Step five:
You can't deny what you've seen,
I was naked and
you, lying under my skin
Tourments
La fleur qui naquit de l'océan
Fille de l'eau et du firmament
est bien abasourdie quand le jour se lève
et que de son esprit sont bannis désirs et rêves.
Elle qui était à l'apogée de son évanescence
Méprise aujourd'hui le plaisir des sens
Car en effet, oui, elle vivait pour le grand frisson
Jusqu'à ce qu'un matin elle découvre le revers de la passion.
Alors, peu à peu, de sa sève elle se sent privée
Toutes ses aspirations lui ont été dérobées
Chacun sachant qu'une plante vivace dans la fleur de l'âge
désire avant tout qu'on la dévisage.
Quand le soleil décline et que les nues se déchirent
enfin sa peine s'échappe, enfin elle respire
Mais quand à l'aube l'astre solaire de lumière l'innonde
elle se sent faner, elle ne supporte plus ce bas monde.
Mais secrètement elle entretient l'espoir sans équivoque
de perdre sa candeur à la lueur de cette lumière si glauque.
La magnificence étourdissante de cette existence si superficielle
A condamné la fleur à un tourment éternel.
